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- Parc des Pentes 40-80 | VDSA
Parc des Pentes 40-80 Le saut à ski Dans la partie la plus élevée de la montagne, on installe, en 1928, un tremplin pour le saut à ski. À peine plus haut que trois pommes, les jeunes Théophile Huot (1917-2012), Viateur Cousineau (1916-1981) et leurs amis trépignent à la vue des prouesses des skieurs qui dévalent la pente. Ils deviendront des figures marquantes du ski. Le train de neige Dès 1936, les skieurs, à peine arrivés par le train de neige mis en place par le Canadien Pacifique, dévalent déjà les pentes, prêts pour une autre journée sur la neige. Les pentes 40-80 Irene Maud Hutchings et Thomas G. Potter achètent le site de la Maison blanche et y aménagent le Ste-Adèle Lodge. Ils investissent plus de 250 000 $ en 1940 pour défricher et élargir la plus haute montagne, que l’on nomme la pente 80, et y installer un remonte pente. La plus petite pente est nommée la 40. Question de promouvoir le ski, l’activité est gratuite en semaine pour les gens du village. En 1943, trois autres remonte-pentes sont ajoutés. Le site est vendu. En 1957, les nouveaux propriétaires investissent dans l’amélioration des pentes, le nivellement des terrains et l’installation d’un nouveau T-Bar. Congestion au village Les pentes 40-80 attirent des milliers de personnes chaque dimanche. On assiste à une congestion monstre sur la route 11, nouvellement aménagée. D’importantes compétitions s’y déroulent chaque année. La réputation de cet endroit comme centre de ski alpin est aussi répandue au Canada qu’aux Etats-Unis. Des milliers de petits skieurs adélois Des écoles de ski sont offertes, d’abord dirigées par des Européens, puis par des gens d’ici. Les enfants des écoles environnantes ont droit à une activité de ski chaque semaine durant les heures de classe. Pratiquement tous les enfants de Sainte-Adèle ont appris à skier aux pentes 40-80. Le retour à la nature À la suite du retrait des hôtels, la ville de Sainte-Adèle continu d’opérer les pentes de ski. La municipalité fait l’acquisition du site pour éviter qu’il ne passe au profit d’investisseurs immobiliers. En 1990, les remonte-pentes sont enlevés et la montagne retrouve son aspect d’origine. Parc des pentes. Saut à ski sur la côte à Rochon, 1928. Tableau de Théophile Huot. Collection Normand Huot. Théophile Huot et ses amis. Collection Normand Huot. Premier remonte-pente aux pentes 40-80. Collection Magella Bureau. Bibliothèque et archives nationales du Québec. Skis en attente de skieurs. Bibliothèque et archives nationales du Québec. Scène aux côtes 40-80. Collection Magella Bureau. Bibliothèque et archives nationales du Québec. École de ski sur la pente 40, en 1952. Société d'histoire de Sainte-Marguerite et de l'Estérel. Écoliers en direction de la pente 40. Journal Montréal Star Magazine, 1955.
- Claude LANGEVIN - Côte Morin | VDSA
CÔTE MORIN Claude Langevin La « côte Morin » fut ouverte par l’honorable Augustin-Norbert Morin. Durant les années 1940, de 5 000 à 7 000 personnes utilisaient cette rue comme piste de ski. Elle était sablée seulement sur un côté. L’angle du haut de la côte fut adouci pour faciliter la circulation. En août 1950, les jeunes sous la direction de Robert Lapalme peignirent la côte à la gouache lors de la « Nuit laurentienne ». Les policiers ordonnèrent de détruire cette œuvre par mesure de sécurité. Cette côte fut couverte de glace en plein mois de juillet, pour permettre des compétitions de ski. Les maisons montrées sur l’œuvre exposée sont toujours existantes. Rendez-vous dans le parc de la Famille et regardez vers le bas de la côte, vous les découvrirez entre les arbres.
- Contact et compléments d’information | VDSA
Contact et compléments d'information Comité patrimoine de la Ville de Sainte-Adèle La Ville de Sainte-Adèle a la chance de pouvoir compter sur l’expertise et la passion des membres de son comité patrimoine pour faire rayonner la riche histoire de la municipalité et contribuer à la mise en valeur du précieux patrimoine adélois. Mission du comité Veiller à la préservation, à la reconnaissance et à la mise en valeur du patrimoine bâti, culturel et naturel de la Ville de Sainte-Adèle; Favoriser la connaissance, la protection et la transmission du patrimoine culturel aux prochaines générations. Membres du comité Ville de Sainte-Adèle : Une employée du Service des loisirs, de la culture et de la vie communautaire Le directeur du Service de l’urbanisme et de l’environnement L’archiviste Un conseiller municipal Citoyen.nes : Christiane Brault, Claude Chapdelaine et Johanne Mercier Le comité se réunit 4 à 5 fois par année afin de discuter de différents projets et d’apporter de nouvelles idées. Si vous avez des suggestions pour ce comité, nous vous invitons à nous les faire parvenir par courriel à culture@vdsa.ca Pour plus d’information au sujet de l’histoire et du patrimoine de la région La Société d'histoire et de généalogie des Pays-d'en-Haut a notamment pour objectifs de promouvoir la connaissance de l'histoire régionale des Pays-d'en-Haut et compiler des archives en recueillant des documents, films, photos, coupures de journaux, histoires, anecdotes, etc., relatifs à nos objectifs. Société d’histoire et de généalogie des Pays-d’en-Haut Le Musée du ski des Laurentides se consacre à la recherche, la collecte, la conservation, l’interprétation et au partage par la diffusion de l’histoire du ski dans les Laurentides, berceau du ski au Canada, en mettant en valeur un patrimoine matériel et immatériel unique. Il offre aux différents publics des expositions ainsi que des expériences variées éducatives et culturelles. Il compte une collection de plus de 7500 artefacts et de 20 fonds d’archives privées. Musée du ski des Laurentides Découvrez 4 circuits historiques de Sainte-Adèle avec l’application mobile Balado Découverte. Accessible gratuitement dans votre téléphone mobile, sans publicité, ni compte visiteur à créer. https://baladodecouverte.com/circuits/757/circuits-touristiques-de-sainte-adele Tant au niveau du patrimoine culturel que du patrimoine bâti, la MRC des Pays-d’en-Haut a une histoire bien à elle! Pour en apprendre davantage, cliquez sur le lien ci-dessous! https://lespaysdenhaut.com/la-mrc/patrimoine/
- Pierrette JOLY - Chapelle sur le lac | VDSA
CHAPELLE SUR LE LAC - 2009 Pierrette Joly Pierrette Joly est née en Ontario en 1948, dans la ville de Hawkesbury. Mère de trois enfants et grand-mère à trois reprises, cette résidente de Sainte-Adèle poursuit inlassablement son œuvre amorcée au début des années ‘80 dans ce site enchanteur des Pays-d’en-Haut. Pierrette Joly trouve son inspiration dans la nature. C’est d’ailleurs parmi les magnifiques paysages des Laurentides et de Charlevoix, tant de fois transposés sur ses toiles, qu’elle se ressource pour ses créations. Artiste peintre depuis plus de vingt ans, madame Joly définit son style comme étant figuratif impressionniste. Elle se considère également comme éternelle autodidacte. Pour elle, la création n’est pas statique; elle est en perpétuelle évolution. CHAPELLE SUR LE LAC - 2009 Les visiteurs de Sainte-Adèle ont une affection pour ce petit édifice religieux. On peut l’admirer tout à côté du lac Rond, le long de la montée du Chantecler. Il fut érigé en 1952 sur un terrain donné par M. A.B. Thompson, propriétaire du Chantecler, avec l’aide des Églises-Unies du Canada. Le premier service religieux eut lieu le 14 décembre 1952 avec la participation de familles très croyantes. La première pierre fut posée par le révérend J. I. Mackay. Le mobilier fut confectionné par des ouvriers locaux, des membres et leurs amis. Cette petite église possède un magnifique vitrail signé Guido Nincheri. Elle dessert toutes les dénominations protestantes. Le premier ministre résidant fut le Rev. Hugh A. Rose. Depuis 1970 trois églises se sont regroupées. Il s’agit de Sainte-Adèle, Morin-Heights et Shawbridge.
- Personnages historiques | VDSA
Personnages historiques Plusieurs personnages et familles adéloises ont contribué au développement de la Ville de Sainte-Adèle, de sa fondation à aujourd’hui. Qu’on pense à Augustin-Norbert Morin, fondateur du village de Sainte-Adèle, nommé en l'honneur de sa femme, Adèle Raymond. Ou encore au docteur Wilfrid Grignon, maire pendant deux mandats, qui contribué à moderniser le village au tournant du 20e siècle. Et bien sûr, Claude-Henri Grignon, homme politique et écrivain, à qui l’on doit le roman Un homme et son péché, et le téléroman Les Belles Histoires des pays d’en haut. Découvrez les personnages marquants de l’histoire de Ville de Sainte-Adèle.
- Parc Claude-Henri-Grignon | VDSA
Parc Claude-Henri-Grignon Le docteur Wilfrid Grignon et sa femme, Eugénie Baker, s’installent à Sainte-Adèle. Maire du village, il joue un rôle très important dans son développement. Devenu agronome, le docteur Grignon poursuit la mission de colonisation du curé Labelle. Né à Sainte-Adèle, Claude-Henri Grignon fréquente le Collège Saint-Laurent. Peu motivé par les études classiques, il préfère tendre l’oreille aux histoires racontées par les anciens du village. Une carrière d’écrivain Grignon publie dans le journal L’Avenir du Nord dès 1916 et collabore à plusieurs autres revues. Ses écrits portent sur plusieurs genres avec Les Pamphlets de Valdombre, un périodique qu’il fonde en 1936. Les Belles Histoires des Pays d’en Haut Son œuvre majeure demeure Un homme et son péché. Ce roman, publié en 1933, lui vaut le prix David. Les adaptations du roman sur grand écran ne cessent de faire revivre la vie de l’avare Séraphin Poudrier et des divers personnages qui gravitent autour. Ces histoires donnent à Sainte-Adèle cette nouvelle appellation des Pays d’en Haut. Le maire de Sainte-Adèle Claude-Henri Grignon est élu maire de 1941 à 1951. Pendant une décennie, il voit aux destinées de sa ville. Sainte-Adèle entre alors dans la modernité. Il occupe la présidence du Syndic pour la construction de la nouvelle église, celle de la Commission scolaire et autres. Il agit également comme préfet de comté. Rien ne lui échappe. Le village de Séraphin Pour vivifier les Belles Histoires des Pays d’en Haut, Fernand Montplaisir, Rolland Liboiron et lui ont l’idée de recréer le Village de Séraphin. Le projet prend vie en 1967 et grandit au fil des ans. Après 32 ans, le site ferme ses portes. Claude-Henri Grignon inscrit au Répertoire du patrimoine culturel du Québec Claude-Henri Grignon décède en 1976, laissant derrière lui une œuvre colossale. En reconnaissance de l’apport de l’auteur à sa région, la ville de Sainte-Adèle lui attribue un statut légal de personnage historique. Plusieurs écrits de Claude-Henri Grignon ont été légués à la bibliothèque municipale qui porte son nom. Sa maison natale, également citée par la ville de Sainte-Adèle, existe toujours. Le docteur WIlfrid Grignon et Claude-Henri Grignon en 1895. La famille de Wilfrid Grignon et d’Eugénie Baker. Collection Pierre Grignon. De gauche à droite. 1ère rangée : Raoul, Louis-Marie, René, Claude-Henri, Irène, Jeanne. 2e rangée : Alice, Blanche, Wilfrid Grignon et Eugénie Baker. Claude-Henri Grignon, 1941. Bibliothèque et archives nationales du Québec. Photo Albert Dumas. Séraphin Poudrier et sa femme, Donalda, interprétés par Jean-Pierre Masson et Andrée Champagne. Bibliothèque et archives nationales du Québec. Collection Société Radio-Canada. Village de Séraphin, route 11 à Sainte-Adèle, 5 juillet 1967. Bibliothèque et archives nationales du Québec. Photo Pierre McCann. Fonds La Presse. Maison de Claude-Henri Grignon, rue Morin, prise en 2020. (été) Collection Christiane Brault.
